Parlons-en de la mort ! Pour vous, il s’agit d’une fin. Du corps, oui. De l’esprit, peut-être. Dans mon univers, après sa disparition, chaque être demeure en état de vie, temporaire et vaporeuse. Dès le dernier souffle expiré, une brigade de senteurs s’active. La putréfaction démarre bien avant que vous ne vous en aperceviez. Un parfum de renfermé d’abord, vous savez, celui d’un grenier jamais fréquenté.