Une forme de bonheur, peut-être.
Parce que je rends service à ma sœur.
Parce qu’au fond de moi, je suis convaincue qu’elle va s’en sortir.
Parce que j’ai compris que me savoir là, à assurer ses arrières, la rend plus sereine, plus armée, plus apte à affronter sa maladie.
Parce que je sais que ce que je fais n’est pas seulement pour elle. Si j’ai accepté, c’est pour moi, aussi. C’est pour moi, avant tout.