"Je ne m’en rends pas immédiatement compte mais elle s’est immobilisée devant moi.
Toujours cette rage authentique qui la rend encore plus désirable.
Elle tourne les talons. Comme ça. Sans un autre regard. [...]
Impuissant, je la contemple qui quitte cette pièce, le pas décidé et la tête haute. Mon rythme cardiaque est à son paroxysme.
De ma vie entière, je n’ai jamais autant désiré une femme. Dans tous les sens du terme."
Prologue disponible sur le site http://juliettemey.com