« La nourriture était un sujet tellement tabou chez eux. À la maison, elle entendait des récits de jeunes gens dévoyés qui « mangeaient avec n’importe qui » ou qui « grignotaient à droite, à gauche », et elle imaginait des jeunes femmes aux traits flous happant, au-dessus de leurs deux épaules, des aliments dressés entre des doigts douteux. »