C'est le froid glacial de la montagne qui rend le feu dans l'âtre du refuge si délicieux ; ce sont les courbatures et les crampes musculaires qui font d'un bain ordinaire une révélation sensorielle ; ce sont les heures d'efforts terribles qui font d'un repas de sardines, de biscuits et de confiture un festin plus succulent que mille dîners au Criterion.