Tous les anciens collègues SS qui l’entourent dégagent un air de respectabilité. Ils étaient, selon les propres mots de Germaine, « bien habillés, bien peignés, bien savonnés : corrects. Un dentiste, des médecins, un ancien imprimeur, des infirmières, quelques employés moyens. Pas de casier judiciaire, études normales, enfances normales… Des gens ordinaires ».