Et il faudrait pouvoir nommer ce lieu où se développe cette accoutumance au chagrin. Bien pire, cette dépendance au mal qu'infligent les hommes, en toute circonstance, et auquel, pourtant, ces femmes pourraient mettre fin, en le décidant.
[...] je [...]devine , sous leur masque de victime, le véritable visage des femmes. Ce visage de la complicité, de la connivence et de la confusion, aussi, puisque ces femmes sont, à cette époque mes bourreaux. Celles qui, vous savez, maintiennent vivante la tradition avec un tel engagement, une telle fougue, qu'on les croirait être des hommes. (p 41)