Et Nour était là, à quelques mètres de moi, comme endormie. Je me souviens de ses bras couverts de traces de coups et de son visage marqué par de profondes griffures. A terre, elle n'était plus qu'un corps désarticulé, douloureux, fantôme de lui-même, ayant conu la mort, regrettant d'y avoir échappé tant l'idée d'avoir à vivre encore était insurmontable.