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Critiques de Karen Olsen (4)
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Élise et Beethoven

Dès les premières lignes d’Élise et Beethoven, je suis redevenue une adolescente qui adorait les romans mettant en scène des jeunes cherchant à résoudre une énigme et à braver toutes les difficultés se présentant.



Je n’ai donc déposé le premier roman de K.E. Olsen que terminé, et pas avant. Heureuse du dénouement, qui a suivi les secrets et les surprises ayant mené la jeune Élise et son équipe de choc en Allemagne sur les traces de Beethoven. L’héroïne tenait à en avoir le cœur net afin de rétablir la vérité sur son père disparu à la suite d’une rencontre – et pas n’importe laquelle! –, qui allait changer le cours de sa vie.



La jeune Élise, peu motivée à faire ses gammes et à travailler les pièces proposées par son professeur de piano, était pourtant une élève talentueuse jusqu’à il y a quelque temps. Mais le piano de son père, disparu en même temps que ce dernier et remplacé par un piano qui ne vibre pas, lui manque terriblement. Jusqu’au jour où elle découvre que le piano ne s’est pas envolé : il est au grenier en compagnie du fantôme de Ludwig van Beethoven.



Un fantôme? Et de plus, le fantôme de Beethoven? Oui! Et vous allez croire dur comme fer que les fantômes existent quand vous aurez fait connaissance de celui-ci, lequel ouvrira à Élise les portes d’un monde dont elle n’avait aucune idée. Et pourtant, il était à quelques marches près. Il suffisait pour cela qu’elle s’aventure un jour dans le grenier interdit et l’y rencontre. Il suffisait aussi qu’il lui raconte sa vie, qu’il lui parle de ses parents et qu’il lui remette une liasse de lettres.



Des lettres? Mais encore? C’est là le premier indice de cette aventure rocambolesque qui transportera Élise, son professeur de piano, la meilleure amie d’Élise, passionnée de criminologie, et un expert en archéologie à Bonn afin de retrouver une partition qu’on croyait disparue depuis deux siècles.



Toute une aventure que celle d’Élise et Beethoven! Une aventure enlevante, bien ficelée, solidement documentée par K.E. Olsen, native de Trois-Rivières, que je m’empresse de conseiller aux mélomanes de tous âges et particulièrement à ceux qui aiment Beethoven. Plaisir garanti de la première à la dernière page!
Lien : http://lalitoutsimplement.co..
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Vincent et Gabrielle

Le commentaire de Martine :

Karen Olsen a revisité la vie de Vincent Van Gogh à Arles où il fait la rencontre d'une jeune adolescente dans une maison de débauche, entre les deux, va naître une amitié. Cette jeune fille se retrouve dans la maison, non comme prostituée, mais comme femme de ménage ce qui lui permet de faire un peu de sous.

On est en 1888, à Arles, Van Gogh est un artiste qui a une vie tumultueuse, il est un homme tourmenté, mutilé, malade et incompris.

Ce récit est celui de Gabrielle qui offre à une nonagénaire de se raconter son adolescence et sa rencontre-relation avec le peintre Vincent Van Gogh. L'artiste porte le désir de donner sa beauté à cette jeune adolescente qui s'est fait mordre au visage par un chien.

Karen Olsen nous offre un beau voyage au cœur d'Arles et de la relation entre Van Gogh et Gabrielle, c'est une très belle lecture qui nous permet de relater des moments historiques qui se sont passés dans la vie de Gabrielle Berlatier qui était amie du peintre Vincent Van Gogh.

Je vous recommande, c'est une immersion dans la vie de ces deux êtres souffrants qui vont arriver à se façonner des moments riches et gratifiants.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
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La rançon d'Atahualpa

C'est la deuxième fois que je lis un livre de cette série. La dernière fois, elle ne fut pas très concluante avec Disparue chez les Mayas de l'auteur Pierre-Luc Bélanger. D'après l'arrière de couverture l'écrivaine Karen Olsen est déjà allé au Pérou faire du trekking pourtant tout au long du livre j'avais l'impression qu'elle mélangeait la culture péruvienne (Inca) et celle des Maya donc du Mexique. Le méchant Plumier n'est pas méchant du tout on dirait un imbécile en fait tout le contraire de Moriarty le Napoléon du crime. À la mention du Prince des ténèbres une allusion plutôt mauvaise de celui-qu'on ne doit pas prononcer le nom je parle bien sûr de Voldemort. À trop vouloir en mettre pour un jeune public on perd de sa cohérence et rend le roman brouillon pourtant il avait bien commencé un peu didactique mais intéressant. C'est lorsqu'ils sont sur place que tout dégénèrent. À éviter si je serais vous. Lisez à la les aventures de Sherlock Holmes ou Hercule Poirot.
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La bonne de Chagall

L'intérêt corollaire du roman est de nous transporter, sans lourdeurs, dans des réflexions sur la violence faite aux femmes, le machisme, les mécanismes de la trahison ou encore la grande naïveté des criminels...
Lien : http://www.lapresse.ca/arts/..
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