Non à le ultra libéralisme de la art ! Joignons à notre croisade les punks des squats, les rappeurs des técis, les bluesmen des bars, les folkeux de la campagne, les jazzmen des caveaux, les death métaleux et autres hard rockers des sous-sols des églises sataniques, les gothiques des soirées batcave, les chanteurs à textes des cabarets oubliés, les classiqueux des couleurs du tromé, les émigrés de toute la terre avec violon transylvaniens, kora sénégalaises, koto japonais, sanza congolaises, bouzoukis grecs, flûtes irlandaises et tous ceux que j'oublie vu que je vais pas y passer la nuit, enfin ce qu'il en reste car le jour se lève déjà et l'horizon se teinte d'une fureur incarnate.