(...) le problème de Paul Scott, c’était qu’il ne voyait pas Claire comme un être humain ordinaire, avec ses imperfections. Il était aveugle à ses failles. Couvrait ses impairs, ses erreurs. Ne lui faisait jamais de reproches. Ne la mettait pas en colère, ne provoquait jamais en elle ces émotions intenses qui faisaient que les conneries d’un homme valaient la peine d’être supportées.