Comme la plupart des auteurs de sévices sexuels, il était charmant et affable, et, une fois qu’il en avait terminé avec ses mauvais traitements, totalement aveugle devant l’état de son épouse. De nos jours, un flic n’a plus besoin du témoignage de l’épouse, il aurait pu s’en passer pour arrêter le mari, mais à l’époque, les lois avaient protégé ledit mari.