Au camp de Stöcken, on meurt en six mois ! ironisent les SS qui gardent le camp. Affamés, maltraités frappés à coups de gourdins et de fouets en fer, les hommes travaillent sans relâche. Dès qu'un homme meurt, il est aussitôt remplacé par un autre déporté qui mourra à son tour et sera remplacé par un autre déporté qui mourra à son tour et sera remplacé par un autre déporté qui mourra à son tour et sera remplacé par un autre déporté qui mourra à son tour et sera remplacé par un autre déporté qui mourra à son tour et sera remplacé par un autre déporté qui mourra à son tour et sera remplacé par un autre déporté qui mourra à son tour et sera remplacé par un autre déporté qui mourra à son tour et sera remplacé par un autre déporté qui mourra à son tour et sera remplacé par un autre déporté qui mourra à son tour et sera remplacé par un autre déporté qui mourra.
( p14)