Recueil de sept nouvelles que j'ai abandonné dès la première : Mon séjour au Père Lachaise.
La quatrième de couverture me promettait "de l'horreur à l'état brut, de l'épouvante à dose massive".
J'ai surtout baillé au milieu des tombes sans jamais sentir venir, à mon grand regret, le moindre frisson d'épouvante.
Le récit est morne, je trouve l'auteur sans fulgurance et cela ronronne comme un moteur poussif.
Dans cette même collection "Le Masque fantastique" il y a beaucoup mieux à lire comme "Malpertuis" de Jean Ray ou "Celui qui survit" de James Herbert.
Ils ne jouent pas dans la même division.
Le nom de Karl Hans Strobl m'était jusqu'à ce jour inconnu et il semble que sur Babelio il est également oublié.
J'ai peur qu'il le reste encore un peu...
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