Kurt Weill ne considérait pas le jazz comme une musique facile : "La musique de jazz, a-t-il écrit, ne se résume pas à une mesure syncopée à 2/ 2. La musique nègre qui est à l’origine du jazz est d’une complexité rythmique, d’une subtilité harmonique, d’une richesse de modulation que la plupart de nos orchestres de danses sont tout simplement incapables de reproduire."