Avant toute chose : je ne suis pas quelqu’un de violent. Au contraire. Je ne me suis jamais battu de ma vie, par exemple. Et je n’ai tué mon premier homme qu’à quarante-deux ans. Ce qui, dans mon milieu professionnel actuel, est plutôt tardif. Bon, il est vrai qu’une semaine après, j’en étais déjà à presque six meurtres.
J’imagine que ça doit vous choquer. Mais tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour de bonnes raisons. C’est la conséquence logique d’un cheminement vers la pleine conscience. Pour concilier travail et vie de famille.