Vous savez, là-bas, il est impossible d'échapper à cette atmosphère mystique qui se dégage de tout et n'importe quoi, d'un simple endroit, d'un bosquet de figuiers, d'une ruine en bordure de chemin, des ghâts qui descendent vers le Gange et jusqu'à la couleur des saris. J'imagine que cela a fatalement déteint sur moi, avec d'autant plus d'importance que mon père, à la mort de ma mère, n'a plus jamais cru en rien.