-S’ils doivent nous envahir, ils nous envahiront, c’est tout. Quant à moi, j’espère qu’ils resteront de leur côté des montagnes avec leur abominable cuisine. Il est déjà assez terrible que les soldats français embrochent les bébés, mais s’ils nous apportaient leur beurre rance et leurs rôtis trop cuits, que Santa Marta ait pitié de nous !