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4.19/5 (sur 1347 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Long Beach, Californie , 1981
Biographie :

Kate Quinn est une écrivaine, auteure de roman historique.

Fille d'un historien, elle est diplômée de l'Université de Boston.

Elle est l'auteure d'une saga romanesque composée de "La Maîtresse de Rome" ("Mistress of Rome", 2010), son premier roman, "Les Héritières de Rome" ("Daughters of Rome", 2011) et "L'Impératrice des sept collines" ("Empress of the Seven Hills", 2012).

Son roman de la série "Borgia", "Le serpent et la perle" ("The Serpent and the Pearl", 2013) est suivi de "La concubine du Vatican" ("The Lion and the Rose", 2014).

Plébiscité par les critiques, "Le Réseau Alice" ("The Alice Network", 2017), connaît un succès retentissant dans de nombreux pays. En 2019, elle publie encore un remarquable roman, "La Chasseresse" ("The Huntress"), une histoire haletante de prédateur et de proie.

Kate Quinn remporte le Grand Prix du Roman Historique 2023 avec "Le code rose" ("The Rose Code", 2021).

Kate Quinn vit à San Diego avec son mari.

son site : http://www.katequinnauthor.com/
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La Chasseresse - Kate Quinn


Citations et extraits (184) Voir plus Ajouter une citation
"J'aime comme tu frottes la cicatrice sur le dos de ta main quand tu es inquiet. J'aime la façon dont tu fais d'une épée une partie vivante de ton corps. J'aime quand tu poses sur moi un regard brûlant, comme si tu me voyais pour la première fois. J'aime en toi la noirceur qui veut tuer le monde entier, et la douceur qui le regrette ensuite. J'aime ta façon de rire, comme si tu t'étonnais simplement de pouvoir le faire. J'aime quand tu m'étouffes sous tes baisers. J'aime ta façon de respirer, de parler, de sourire. J'aime que tu me serres si fort que j'en ai le souffle coupé. J'aime ta façon de faire de la mort une danse. J'aime la confusion que je lis dans tes yeux quand tu t'aperçois que tu es heureux. J'aime chaque muscle et chaque os de ton corps, chaque repli de ton âme. Je t'aime tant que je ne peux pas le dire à voix haute en plein jour. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime."
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- J'aime bien tes défauts. Mais je suppose qu'on choisit rarement ceux dont les défauts sont assortis aux nôtres. On préfère toujours la personne qui nous convient le moins, n'est ce pas ?
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Le travail d'espion est sans doute celui qui apporte la plus grande satisfaction au monde. Les mères vous diront que la vocation ultime est la maternité. (...) Je préfère mille fois prendre le risque de recevoir une balle à la sécurité d'avoir à changer une couche sale.
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- Je sais qu'on dit que j'ai peur de mon ombre.
Paulinus sursauta. Une fois de plus, Domitien avait lu dans ses pensées.
- Mais, sachant que la moitié des dix empereurs qui m'ont précédé ont péri de mort violente, je serais stupide de ne pas redouter les assassins. Le métier d'empereur est dangereux.
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Ne valait-il pas mieux rêvasser sur un homme dont la vie serait brève ? Il garderait toujours la beauté de sa jeunesse, et si jamais on se lassait de lui, on n'aurait pas à attendre longtemps qu'il s'en aille. P. 17
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- [...] A partir d'aujourd'hui, tu combattras pour moi, où et quand je te le dirai. Je suis un laniste. Tu sais ce que ça veut dire ? Non ? [...] Le laniste, mon cher, c'est celui qui entraîne les gladiateurs. Tu seras gladiateur. Ce n'est pas une mauvaise vie... les femmes, l'argent, la renommée... Tu vas prêter serment maintenant et commencer l'exercice dès que tes os seront recollés. Répète après moi : " Je promets de supporter le feu, les chaînes, les coups, la mort par le fer". C'est le serment des gladiateurs, mon ami.
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Du safran. Bonne Santa Marta, quand avais-je respiré ce parfum pour la dernière fois ? Et ce doux fumer du canard a la broche qu'on arrose de miel et de jus d'orange ? Une odeur plus piquante : certainement de vinaigre fin, celui qu'on fait venir de Modene, à la fois si aigrelet et si doux à la langue que les larmes vous viennent aux yeux...
Depuis des semaines, l'air autour de moi n'avait que l'odeur âcre de la peur, son goût saumâtre - et voici que je humais ces doux parfums et que la peur avait disparu. Sans meme le vouloir, j'étais passée devant le groupe des apprentis inquiets et j'avais suivi à l'intérieur mon nez transporté. La cuisine était pleine de monde, mais je fermai simplement les yeux et respirai avec ravissement. L'huile d'olive. De la bonne huile qui grésillait dans la poêle au lieu de se gâter tristement dans sa cruche. Une huile a peine sortie du pressoir, qui devait encore couler verte et luisante... La douce brûlure du poivre fraîchement moulu... L'odeur du sel et de fumée du fromage dont on vient d'entamer la roue - je n'avais pas senti un bon fromage depuis plus d'un an. La farine, celle qu'on mond tres fin, si légère qu'elle s'envole dans l'air. Et une chose délicieuse en train de mijoter sous la croûte....
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Quel est le contraire d'un lac ?
Le ciel.
Quel est l'opposé de se noyer ?
Voler.
Car si vous vous éleviez librement dans les airs, jamais l'eau ne vous submergeait la tête. Vous pouviez tomber, vous pouviez mourir, mais vous ne pouviez pas vous noyer.
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« Ma maîtresse et son père partirent le lendemain matin dans un grand tumulte de chariots, d’esclaves et de litières incrustées d’argent. J’étais libre. Libre ! Le soleil de juillet me cuisait la peau, la poussière qui montait des rues me faisait suffoquer, les nuits étouffantes ramenaient les cauchemars familiers, mais j’étais libre. Plus besoin de suivre Lepida avec un éventail et un mouchoir en subissant ses remarques cuisantes. Plus de Pollio aux mains moites dans les couloirs sombres. Plus de travail, puisque l’intendant avait cessé de surveiller sans relâche nos allées et venues pour passer toutes ses journées au cirque à regarder les courses de chars. Les esclaves mâles filaient à la taverne, les servantes partaient rejoindre leurs amants, et personne ne s’en souciait. »
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J'avais souvent regretté de ne pas être aussi douée pour cerner les gens que je l'étais pour résoudre un problème d'arithmétique : de ne pouvoir me contenter de les décomposer en dénominateurs communs et de les résoudre. Les chiffres ne mentaient pas ; il y avait toujours une solution, et la solution était soit juste soit fausse. C'était simple. Mais rien dans la vie n'était simple et, dans ce cas précis, je n'avais aucune opération à faire pour trouver une solution. Il y avait juste moi, et le désordre que je représentais, assise à une table face à ma mère qui ne partageait aucun dénominateur commun avec sa fille.
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