Ma sœur Yıldız aime monter à cheval. Elle se tient en selle comme un homme, le vent dans les cheveux et dans les vêtements. Les regards des hommes s’envolent à sa poursuite. Bientôt elle sera trop femme pour galoper, mon père se mettra sur son chemin, il lui prendra les rênes des mains, la fera descendre de cheval et l’enverra dans la cuisine. Là, elle aidera ma mère et le vent tombera de ses habits.