Mai 1908. En bref, voici ce qu’il me faut. La puissance, la fortune, la liberté. Si nous sommes si cruellement enchaînées, c’est la faute de l’insipide théorie qu’on rabâche, qu’on serine aux femmes de génération en génération, et d’après laquelle rien n’a d’importance que l’amour. Cette balançoire, il faut l’envoyer promener, et alors, alors seulement apparaissent les possibilités de bonheur, de libération.