Un cheval, ce n’est pas comme un chat qui n’a besoin que d’une litière, d’un peu de nourriture et d’eau. Quand on a un cheval, il faut être présent pour lui.
A l’époque où le prix de la viande était élevé, un cheval, ça valait plus qu’une vache au kilo. L’élevage intensif a prospéré. Puis le grand abattoir du Texas a fermé, et les prix ont chuté. Tout à coup, on trouvait des chevaux gratuits partout sur Internet. Mon téléphone n’arrêtait pas de sonner, des gens essayaient toujours de m’en refourguer. Mais un cheval gratuit, ça n’existe pas.