En effet, pour de Gaulle, les Harkis n'étaient pas des Français (à l'exception de ceux qui avaient opté pour la pleine citoyenneté française impliquant la soumission au code civil) et considérait que leur place était en Algérie, où les accords d'Evian étaient censés les protéger. Mais ils ne sont donc pas pleinement rapatriés car ils ne bénéficiaient pas du statut de citoyen Français dans l'ancienne colonie. Les Harkis correspondaient à un autre statut colonial.(P. 51)