Rien ne le contente, ni ses tableaux, ni ses amours passagères, et il rêve d'un amour plus parfait, plus beau ; mais l'objet de ce rêve, il ne l'a pas encore trouvé. Il y a l'autre, la Muse, la peinture qui lui prend le meilleur de lui-même : aux femmes, à sa femme, il donnera ce qui reste ; et il se sent assez fort pour contenter les deux.