Quand il pensait aux menaces de guerre, il s’inquiétait avant tout pour Maud, son pays passait ensuite. Il avait honte de son égoïsme, mais ne pouvait rien y faire. Le risque de la perdre lui paraissait pire que les dangers que courait sa patrie. Il était prêt à mourir pour l’Allemagne… mais pas à vivre sans la femme qu’il aimait.