Comme Madge gardait le silence il planta son regard dans le sien. Comme elle hochait la tête, il comprit brusquement qu'il venait d'exprimer une vérité terrible .Caris trouverait peut-être une sorte de bonheur, effectivement .Elle avait perdu sa maison ,sa liberté, son futur époux ,et finalement elle serait peut-être heureuse, malgré tout.
Que pouvait-on dire de plus?
Il se leva .《 Merci à tous les deux d'être mes amis.》Sur ces mots il s'éloigna.
《 Eh où vas-tu ? 》 s'écria Marc.
Merthin se retourne et s'arrêta. Une pensée encore indistincte ,était en train d'éclore dans son esprit.Il attendait qu'elle lui apparaisse en toute clarté. Quand elle se révéla à lui il en fut ébahi. Puis il comprit immédiatement que c était une bonne idée. Mieux que bonne, parfaite.
Essuyant ses larmes il regarde Marc et Madge dans la lumière rouge du soleil mourant.
《 Je pars pour Florence.Adieu.》( page 642).