Critiques de Kenji Saito (20)
J'avance la lecture de cette nouvelle itération de l'univers Saint Seiya avec une certaine méfiance même si je dois reconnaître qu'elle laisse supposer quelques bonnes surprises et d'autres choses qui peuvent inquiéter.
Dans ce tome, on laisse donc un peu de côté le personnage qui donne son nom à la série pour se consacrer aux personnages annexes mais non moins importants. Ainsi les Gold Saints du Capricorne et du Bélier sont mis en scène dans ce qui semble bousculer notre conception de la série. Deux Gold qui s'affrontent, ce n'est pas nouveau, mais de cet affrontement semble émerger un certain nombre d'éléments qui laissent penser que cette guerre sainte ne ressemblera en rien à ce que nous connaissons. En effet un troisième ennemi, pour le moment dans l'ombre, semble tirer les ficelles entre Athéna et Hadès, sans doute même, profiter du contexte de cette guerre pour tirer les bénéfices à lui. Mais nous n'en savons pas plus pour le moment.
Le personnage de Catleya, l'incarnation dans cette réalité d'Athéna, est approfondi et gagne en intérêt puisque l'auteur creuse l'idée justement de l'incarnation en plaçant l'humaine face à l'esprit d'Athéna. la réflexion n'avait jamais été proposée jusqu'ici, puisqu'on considérait toujours que dès lors que la déesse s'était incarnée dans son corps mortel, ou bien que l'humaine hôte s'était éveillée, alors il ne restait plus grand chose de son âme, remplacée par celle de la déesse.
Au vu des quelques éléments supplémentaires disséminés par ci par là, je pencherai, sans vouloir mettre la charrue avant les boeufs, et peut être que je me trompe, sur l'idée que l'auteur se la joue multivers, ou du moins réalité alternative, ce qui pourrait expliquer la présence d'Aiolos dans le tome précédent, au milieu de tout un panel de nouveaux personnages...
Je regrette encore une fois que seuls les Gold sont mis en valeur, j'espère qu'au fil des tomes, les Silver et les Bronze auront leur part dans cette nouvelle guerre sainte qui s'annonce, d'autant qu'elle est clairement définie comme pervertie...
Dans ce tome, on laisse donc un peu de côté le personnage qui donne son nom à la série pour se consacrer aux personnages annexes mais non moins importants. Ainsi les Gold Saints du Capricorne et du Bélier sont mis en scène dans ce qui semble bousculer notre conception de la série. Deux Gold qui s'affrontent, ce n'est pas nouveau, mais de cet affrontement semble émerger un certain nombre d'éléments qui laissent penser que cette guerre sainte ne ressemblera en rien à ce que nous connaissons. En effet un troisième ennemi, pour le moment dans l'ombre, semble tirer les ficelles entre Athéna et Hadès, sans doute même, profiter du contexte de cette guerre pour tirer les bénéfices à lui. Mais nous n'en savons pas plus pour le moment.
Le personnage de Catleya, l'incarnation dans cette réalité d'Athéna, est approfondi et gagne en intérêt puisque l'auteur creuse l'idée justement de l'incarnation en plaçant l'humaine face à l'esprit d'Athéna. la réflexion n'avait jamais été proposée jusqu'ici, puisqu'on considérait toujours que dès lors que la déesse s'était incarnée dans son corps mortel, ou bien que l'humaine hôte s'était éveillée, alors il ne restait plus grand chose de son âme, remplacée par celle de la déesse.
Au vu des quelques éléments supplémentaires disséminés par ci par là, je pencherai, sans vouloir mettre la charrue avant les boeufs, et peut être que je me trompe, sur l'idée que l'auteur se la joue multivers, ou du moins réalité alternative, ce qui pourrait expliquer la présence d'Aiolos dans le tome précédent, au milieu de tout un panel de nouveaux personnages...
Je regrette encore une fois que seuls les Gold sont mis en valeur, j'espère qu'au fil des tomes, les Silver et les Bronze auront leur part dans cette nouvelle guerre sainte qui s'annonce, d'autant qu'elle est clairement définie comme pervertie...
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'apprenais l'existence de cette toute nouvelle itération de l'univers Saint Seiya! J'avoue avoir été agréablement surpris par le contenu, consacré à un Spectre d'Hadès, et pas n'importe lequel puisqu'il s'agit du plus puissant et emblématique des trois Juges des Enfers, la Wyvern.
Mon intérêt pour l'objet a été plus que titillé et je m'empressai de me le procurer vite fait bien fait!
Passé la joie du premier instant, l'ouverture de la première page, la découverte des premières cases, je ressors de ma lecture avec un sentiment mitigé.
Nous suivons un certain nombre de lycéen, une structure proche de la fondation Graad, dont le destin est semble t'il de devenir un membre soit de l'armée d'Hadès, soit de celle d'Athéna et bien entendu, d'être amenés à se mettre sur la figure pour la protection de leur divinité respective. Jusqu'ici pas de surprise, puisqu'on reprend encore toujours cette guerre sainte contre Hadès comme contexte, et que, par conséquent, on sait à priori à quoi s'attendre.
Sauf que des incohérences commencent à apparaitre çà et là et je me mords encore les doigts, en souvenir de ma lecture récente de Saintia Sho, qui en regorgeait. Là je me dis, bon sang, un autre auteur qui veut faire du zèle, pardon, honneur à Kurumada en pondant sa version de Saint Seiya....
L'on suit donc avec une certaine méfiance ce nouveau récit centré sur le Spectre jusqu'à ce que quelques éléments explicatifs nous permettre de comprendre ou du moins d'envisager ce qui se déroule exactement. Et j'avoue que l'explication surprend, tient la route, et en même temps, semble la seule et évidente, et promet des choses intéressantes pour l'avenir.
Les liens entre les personnages promettent de bien jolies tragédies comme on les aime dans ce genre, les graphismes sont plus que corrects et ce premier tome réussit le pari de donner envie de découvrir la suite.
Une note d'encouragement pour un tome encourageant!!
Mon intérêt pour l'objet a été plus que titillé et je m'empressai de me le procurer vite fait bien fait!
Passé la joie du premier instant, l'ouverture de la première page, la découverte des premières cases, je ressors de ma lecture avec un sentiment mitigé.
Nous suivons un certain nombre de lycéen, une structure proche de la fondation Graad, dont le destin est semble t'il de devenir un membre soit de l'armée d'Hadès, soit de celle d'Athéna et bien entendu, d'être amenés à se mettre sur la figure pour la protection de leur divinité respective. Jusqu'ici pas de surprise, puisqu'on reprend encore toujours cette guerre sainte contre Hadès comme contexte, et que, par conséquent, on sait à priori à quoi s'attendre.
Sauf que des incohérences commencent à apparaitre çà et là et je me mords encore les doigts, en souvenir de ma lecture récente de Saintia Sho, qui en regorgeait. Là je me dis, bon sang, un autre auteur qui veut faire du zèle, pardon, honneur à Kurumada en pondant sa version de Saint Seiya....
L'on suit donc avec une certaine méfiance ce nouveau récit centré sur le Spectre jusqu'à ce que quelques éléments explicatifs nous permettre de comprendre ou du moins d'envisager ce qui se déroule exactement. Et j'avoue que l'explication surprend, tient la route, et en même temps, semble la seule et évidente, et promet des choses intéressantes pour l'avenir.
Les liens entre les personnages promettent de bien jolies tragédies comme on les aime dans ce genre, les graphismes sont plus que corrects et ce premier tome réussit le pari de donner envie de découvrir la suite.
Une note d'encouragement pour un tome encourageant!!
La menace sous-jacente continue d'être présente, et même si on en apprend un peu plus, les informations ainsi divulguées demeurent bien maigres.
Le tome débute sur l'affrontement qui oppose la Wyvern et le Gold Saint du Capricorne, et sa résolution est plus qu'inattendue mais tellement logique. C'est dommage que l'auteur n'utilise que très peu ce qu'il met en place à travers ce combat car il y révèle un tas de choses intéressantes qui ne sont malheureusement pas exploitées. La lenteur avec laquelle s'installe l'intrigue montre bien la volonté de la part de l'auteur de s'inscrire dans la durée...
On revient également à des préoccupations un peu plus "humaines" avec le retour au lycée dans lequel des Gold Saints désignés par le Pope, enquêtent sur la présence d'un cosmos inquiétant.
C'est l'occasion de montrer de nouveaux Saints comme de nouveaux Spectres, mais également des nouveaux venus.
En fin de tome, l'auteur nous promet des révélations dans la suite, et l'arrivée massive de personnages.
On espère bien et on attend avec impatience que l'histoire veuille bien avancer un minimum.
Sinon c'est toujours déroutant de voir se cotoyer des personnages connus (Capella du Cocher ou Jamian du Corbeau) et des personnages originaux ( tous les Gold Saints). Cela fait plaisir de revoir certains Silver Saints (qui sont généralement sous exploités ou inexistants dans la plupart des itérations de Saint Seiya), même s'ils n'ont qu'un rôle plus que secondaire.
Le tome débute sur l'affrontement qui oppose la Wyvern et le Gold Saint du Capricorne, et sa résolution est plus qu'inattendue mais tellement logique. C'est dommage que l'auteur n'utilise que très peu ce qu'il met en place à travers ce combat car il y révèle un tas de choses intéressantes qui ne sont malheureusement pas exploitées. La lenteur avec laquelle s'installe l'intrigue montre bien la volonté de la part de l'auteur de s'inscrire dans la durée...
On revient également à des préoccupations un peu plus "humaines" avec le retour au lycée dans lequel des Gold Saints désignés par le Pope, enquêtent sur la présence d'un cosmos inquiétant.
C'est l'occasion de montrer de nouveaux Saints comme de nouveaux Spectres, mais également des nouveaux venus.
En fin de tome, l'auteur nous promet des révélations dans la suite, et l'arrivée massive de personnages.
On espère bien et on attend avec impatience que l'histoire veuille bien avancer un minimum.
Sinon c'est toujours déroutant de voir se cotoyer des personnages connus (Capella du Cocher ou Jamian du Corbeau) et des personnages originaux ( tous les Gold Saints). Cela fait plaisir de revoir certains Silver Saints (qui sont généralement sous exploités ou inexistants dans la plupart des itérations de Saint Seiya), même s'ils n'ont qu'un rôle plus que secondaire.
La couverture de ce tome est assez trompeuse puisqu'elle présente le Saint du Bélier, qu'on ne verra pas du tout.
L'intrigue tourne autour des personnages principaux et se resserrent sur les liens qui les unissent toutes et tous. À l'instar de Kurumada pour la série originelle, Kenji Saito continue d'explorer les drama et autres préoccupations qui surgissent de ces liens. Les frères et soeurs, les camarades de lycée, deviennent ennemis et doivent s’entre-tuer contre toute logique ou raison.
La réincarnation d'Athéna, qui ne l'est pas encore complètement, n'aspire qu'à la paix et l'harmonie, et d'ailleurs l'auteur s'attache énormément à ces adolescents et à leur quotidien, me si, comme il le dit en fin de volume, cela devient compliqué de montrer ces moments là dans un contexte de guerre.
Encore une fois, les codes sont bouleversés dans ce tome. Qui connaît l'oeuvre de Saint Seiya observera les twists scénaristiques bienheureux qui éviteront de tomber dans les éternelles rengaines, de raconter les mêmes choses, de contourner les passages obligés, qu' a pu connaître la série.
Je finirai sur deux notes négatives.
La tendance à opter pour un ton parfois (trop!) puéril pourra agacer, même si on sait bien que l'oeuvre s'adresse avant tout à un public adolescent.
Ainsi que la fâcheuse tendance à faire apparaître soudainement dans le cadre des personnages dont on ne sait d'où...! C'est très désarmant, au point de devoir revenir en arrière dans sa lecture pour vérifier qu'on n'a pas louper un truc, ou sauter une page...
L'intrigue tourne autour des personnages principaux et se resserrent sur les liens qui les unissent toutes et tous. À l'instar de Kurumada pour la série originelle, Kenji Saito continue d'explorer les drama et autres préoccupations qui surgissent de ces liens. Les frères et soeurs, les camarades de lycée, deviennent ennemis et doivent s’entre-tuer contre toute logique ou raison.
La réincarnation d'Athéna, qui ne l'est pas encore complètement, n'aspire qu'à la paix et l'harmonie, et d'ailleurs l'auteur s'attache énormément à ces adolescents et à leur quotidien, me si, comme il le dit en fin de volume, cela devient compliqué de montrer ces moments là dans un contexte de guerre.
Encore une fois, les codes sont bouleversés dans ce tome. Qui connaît l'oeuvre de Saint Seiya observera les twists scénaristiques bienheureux qui éviteront de tomber dans les éternelles rengaines, de raconter les mêmes choses, de contourner les passages obligés, qu' a pu connaître la série.
Je finirai sur deux notes négatives.
La tendance à opter pour un ton parfois (trop!) puéril pourra agacer, même si on sait bien que l'oeuvre s'adresse avant tout à un public adolescent.
Ainsi que la fâcheuse tendance à faire apparaître soudainement dans le cadre des personnages dont on ne sait d'où...! C'est très désarmant, au point de devoir revenir en arrière dans sa lecture pour vérifier qu'on n'a pas louper un truc, ou sauter une page...
La licence de Saint Seiya s'essoufflait. Aussi, on voit apparaître des spins-off dont la qualité du synopsis est variable. Les quadragénaires regretteront avec nostalgie les épisodes réalisés par Shingo Araki ainsi que l'œuvre originale du mangaka de Kurumada (28 volumes). N'étant pas convaincue par la nouvelle mouture qui part dans tous les sens, présentant même des personnages qui ridiculisent sa propre œuvre dans Next Dimension surtout les 2 derniers volumes. Pourtant, j'étais agréable surprise par Saintia Shô dont les dessins sont sublimes. Aussi, j'ai voulu tenté l'aventure avec cette nouvelle série. Je me suis habituée au graphisme même si ce n'est pas mon préféré. Cependant, nous avons un énième épisode avec la saga Hadès avec des incohérences. Un wyvern qui n'est pas celle de la trame originale mais on revoit Aiolos. Une lecture plaisante qui s'adresse à la nouvelle génération de lecteurs...
Impossible d’être passé à côté des Chevaliers du Zodiaque (Saint Seiya) l’un des pionniers de l’animation japonaise en France, que vous avez, je pense comme moi, découvert lors du Club Dorothée.
Ce manga qui compte déjà trois volumes au Japon est un Isekai, un genre qui plonge des personnages dans un tout autre univers. Le héro, Shoichiro, participe avec ses copains à une croisière qui tourne mal. Il se réveille 1 an plus tard à Elysion où il apprend de la bouche de Pandore qu'il est l'un des 3 juges d’Hadès, Wyverne de l’étoile céleste de la férocité. Sa mission, il va devoir retourner sur terre pour tuer Athena avant que celle-ci s’éveille.
Autant le point de départ est différent car on suit des jeunes d'un lycée, autant on retrouve des éléments qui ont fait la gloire de Saint Seiya comme le réveille d’Hadès et de sa horde, la réincarnation d’Athena qui ne sait pas encore qui elle est, des Chevaliers d'or prêt à la protéger. Seul changement le personnage principal est du côté du mal !
A voir qui les suivants seront dans l'innovation ou simplement une pâle copie !
Ce manga qui compte déjà trois volumes au Japon est un Isekai, un genre qui plonge des personnages dans un tout autre univers. Le héro, Shoichiro, participe avec ses copains à une croisière qui tourne mal. Il se réveille 1 an plus tard à Elysion où il apprend de la bouche de Pandore qu'il est l'un des 3 juges d’Hadès, Wyverne de l’étoile céleste de la férocité. Sa mission, il va devoir retourner sur terre pour tuer Athena avant que celle-ci s’éveille.
Autant le point de départ est différent car on suit des jeunes d'un lycée, autant on retrouve des éléments qui ont fait la gloire de Saint Seiya comme le réveille d’Hadès et de sa horde, la réincarnation d’Athena qui ne sait pas encore qui elle est, des Chevaliers d'or prêt à la protéger. Seul changement le personnage principal est du côté du mal !
A voir qui les suivants seront dans l'innovation ou simplement une pâle copie !
A la suite d'un petit pack découverte (3 tomes pour le prix d'1), j'ai décidé d'entamer la série Trinity Seven édité par panini depuis 2013 et qui compte à ce 28 volumes dont 25 parus au Japon. Une petite longévité qui prouve que ce titre a priori fanservicieux possède quand même son public.
Fanservicieux ou plutôt comédie ecchi, ce premier tome de Trinity Seven l'est assurément. Comme l'avait souligné l'une des courts avis déjà parus sur ce site, ce manga s'ouvre dès la troisième page sur notre héros agrippant accidentellement le sein d'une lycéenne... De quoi donner le ton de l'humour de cette série qui annonce de la fantasy harem par le biais d'un pervers rustre entouré de jolies jeunes mages dans un autre monde proche quand même d'un lycée japonais.
Sans surprises, ce début de titre peine à orchestrer une véritable intrigue au profit d'un humour ecchi mais ne soyons pas hyppocrite, les couvertures des manga le montrent déjà bien et c'est pour ça qu'on le lit !! ( vive le boeuf )
En quelque part, on sait à quoi s'attendre et, parfois, l'humour de ce style n'éclipse pas de bons mangas. Je pense notamment à Prison School ou le stupîde mais délirant SuperHxEros sans compter l'ambigue Kaijin Reijoh. Le problème, c'est qu'à trop vouloir abuser sur cet humour, c'est de tomber dans la lourdeur et ce premier Trinity Seven , même si il n'est pas trop méchant, annonce cela .
Le héros n'est rien de plus qu'un pervers qui balançe continuellement des remarques sur les poitrines de ses camarades tandis que ces dernières, même si chacune possède un semblant de personnalité, ne sont clairement là que pour la pose. Je charrie un peu car ce premier tome n'est pas non plus abusé en terme de dessin vicieux et tente de contenir une histoire avec un cadre de lycée magique dans lequel sont formés les futurs mages de demain. C'est donc un calque d'un lycée japonais où l'uniforme sexy cotôie de sérieux ennuis magiques. Le héros possède aussi un enjeu important puisqu'il doit retrouver sa cousine, aka sa petite soeur adoptive aka son flirt malsain (si, si...) , perdue dans une autre dimension.
Il y a donc une piste à suivre au niveau de l'histoire qui, on l'espère en tout cas, parviendra à s'élever un peu plus que le niveau des blagues mais pour l'instant, ce n'est pas gagné. Le scénario de Kenji Saitou ( qui a notamment travaillé sur une nouvelle série Saint Seiya , Saint Seiya : dark wing , à paraitre très prochainement) est plutôt décousu ave cun passage inexistant entre deux mondes comme un isekai mal ébauché et surtout vécu à travers les yeux d'un héros qui ne semble jamais surpris de ce qu'il découvre. En clair, l'intrigue est calqué sur un rythme échevélé pour se concentrer principalement sur cette académie de magie, le cadre principal de l'histoire. A partir du moment ou le héros arrive dans cette académie, le scénario est un poil plus intéressant et déroule le strict minimum en présentant tour à tour ses personnages tout en expliquant quelques notions autour de ce monde entre deux chapitres. Il y a tout de même une volonté d'introduire un univers de magie.
Côté dessin, le style d'Akinari Nao (I'm standing on a million lives ) est très propre avec une pointe de classe dans les tenus vestimentaires des personnages sans abuser forcément d'un style trop plastique comme le laissait présager la couverture ( sérieusement, il y a pire). C'est plutôt étonnant dans le registre de la comédie ecchi.
Chaque personnage est d'ailleurs bien identifié entre l'intello autoritaire, la disrète ninja ou encore la troublante et ambigue futur promise du seigneur du mal. Une bonne galerie illustré par la patte du mangaka.
Comédie ecchi des plus convenus avec son lot de blagues vaseuses jetées d'entrée de jeu, ce premier tome de Trinity Seven annonce clairement une petite comédie de fantasy harem sans grande prétention. Pour l'heure, les personnages et l'intrigue sont peu interessants malgré un style très propre de la part du mangaka. Pas de grandes espèrances mais la longévité de la série (28 tomes pour l'instant) peut laisser supposer un bon équilibre entre humour vaseux et un semblant d'aventure fantasy.
Fanservicieux ou plutôt comédie ecchi, ce premier tome de Trinity Seven l'est assurément. Comme l'avait souligné l'une des courts avis déjà parus sur ce site, ce manga s'ouvre dès la troisième page sur notre héros agrippant accidentellement le sein d'une lycéenne... De quoi donner le ton de l'humour de cette série qui annonce de la fantasy harem par le biais d'un pervers rustre entouré de jolies jeunes mages dans un autre monde proche quand même d'un lycée japonais.
Sans surprises, ce début de titre peine à orchestrer une véritable intrigue au profit d'un humour ecchi mais ne soyons pas hyppocrite, les couvertures des manga le montrent déjà bien et c'est pour ça qu'on le lit !! ( vive le boeuf )
En quelque part, on sait à quoi s'attendre et, parfois, l'humour de ce style n'éclipse pas de bons mangas. Je pense notamment à Prison School ou le stupîde mais délirant SuperHxEros sans compter l'ambigue Kaijin Reijoh. Le problème, c'est qu'à trop vouloir abuser sur cet humour, c'est de tomber dans la lourdeur et ce premier Trinity Seven , même si il n'est pas trop méchant, annonce cela .
Le héros n'est rien de plus qu'un pervers qui balançe continuellement des remarques sur les poitrines de ses camarades tandis que ces dernières, même si chacune possède un semblant de personnalité, ne sont clairement là que pour la pose. Je charrie un peu car ce premier tome n'est pas non plus abusé en terme de dessin vicieux et tente de contenir une histoire avec un cadre de lycée magique dans lequel sont formés les futurs mages de demain. C'est donc un calque d'un lycée japonais où l'uniforme sexy cotôie de sérieux ennuis magiques. Le héros possède aussi un enjeu important puisqu'il doit retrouver sa cousine, aka sa petite soeur adoptive aka son flirt malsain (si, si...) , perdue dans une autre dimension.
Il y a donc une piste à suivre au niveau de l'histoire qui, on l'espère en tout cas, parviendra à s'élever un peu plus que le niveau des blagues mais pour l'instant, ce n'est pas gagné. Le scénario de Kenji Saitou ( qui a notamment travaillé sur une nouvelle série Saint Seiya , Saint Seiya : dark wing , à paraitre très prochainement) est plutôt décousu ave cun passage inexistant entre deux mondes comme un isekai mal ébauché et surtout vécu à travers les yeux d'un héros qui ne semble jamais surpris de ce qu'il découvre. En clair, l'intrigue est calqué sur un rythme échevélé pour se concentrer principalement sur cette académie de magie, le cadre principal de l'histoire. A partir du moment ou le héros arrive dans cette académie, le scénario est un poil plus intéressant et déroule le strict minimum en présentant tour à tour ses personnages tout en expliquant quelques notions autour de ce monde entre deux chapitres. Il y a tout de même une volonté d'introduire un univers de magie.
Côté dessin, le style d'Akinari Nao (I'm standing on a million lives ) est très propre avec une pointe de classe dans les tenus vestimentaires des personnages sans abuser forcément d'un style trop plastique comme le laissait présager la couverture ( sérieusement, il y a pire). C'est plutôt étonnant dans le registre de la comédie ecchi.
Chaque personnage est d'ailleurs bien identifié entre l'intello autoritaire, la disrète ninja ou encore la troublante et ambigue futur promise du seigneur du mal. Une bonne galerie illustré par la patte du mangaka.
Comédie ecchi des plus convenus avec son lot de blagues vaseuses jetées d'entrée de jeu, ce premier tome de Trinity Seven annonce clairement une petite comédie de fantasy harem sans grande prétention. Pour l'heure, les personnages et l'intrigue sont peu interessants malgré un style très propre de la part du mangaka. Pas de grandes espèrances mais la longévité de la série (28 tomes pour l'instant) peut laisser supposer un bon équilibre entre humour vaseux et un semblant d'aventure fantasy.
Alliant humour et charme, le manga de Kenji Saitou et Akinari Nao constitue une excellente surprise, qui renouvelle intelligemment le genre harem / ecchi.
Lien : http://www.actuabd.com/Trini..
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Shô est un élève de Graad qui, suite à un naufrage, va se retrouver à Elysion, le lieu de repos éternel de tous les trépassés. À peine arrivé, Hadès lui confie la lourde tâche d'éliminer Athenas car il est l'un des trois juges de l'enfer, Wyverne de l'étoile céleste de la férocité….
Darkwing est un spin-off de Saint-Seiya totalement inédit dans la mesure où l'auteur Kenji Saitô choisit de commencer l'histoire du mauvais côté, celui des méchants. L'approche est totalement différente de ce que l'on a pu lire dans le passé, c'est donc rafraîchissant.
Les premières pages sont déconcertantes car les divers intervenants sont tous ou presque dans la même école. Il semble aussi que l'histoire soit dans une autre temporalité. Les premiers chapitres se passent dans le présent pour ensuite rapidement aller dans le passé des chevaliers d'or. Le personnage principal est pour le moment peu développé et c'est pourtant la partie la plus intéressante du récit.
J'avoue avoir du mal à me faire un avis. En effet, ce premier volume est fortement introductif malgré l'une ou l'autre intrigue.
Visuellement, c'est bien réalisé mais je m'attendais à des personnage plus bruts et moins lisses. C'est l'univers lycéen qui veut probablement ça.
À voir ce que cela donnera pour la suite mais pour l'instant, je suis donc mitigé.
Darkwing est un spin-off de Saint-Seiya totalement inédit dans la mesure où l'auteur Kenji Saitô choisit de commencer l'histoire du mauvais côté, celui des méchants. L'approche est totalement différente de ce que l'on a pu lire dans le passé, c'est donc rafraîchissant.
Les premières pages sont déconcertantes car les divers intervenants sont tous ou presque dans la même école. Il semble aussi que l'histoire soit dans une autre temporalité. Les premiers chapitres se passent dans le présent pour ensuite rapidement aller dans le passé des chevaliers d'or. Le personnage principal est pour le moment peu développé et c'est pourtant la partie la plus intéressante du récit.
J'avoue avoir du mal à me faire un avis. En effet, ce premier volume est fortement introductif malgré l'une ou l'autre intrigue.
Visuellement, c'est bien réalisé mais je m'attendais à des personnage plus bruts et moins lisses. C'est l'univers lycéen qui veut probablement ça.
À voir ce que cela donnera pour la suite mais pour l'instant, je suis donc mitigé.
Une nouvelle guerre Sainte se prépare et pour y faire face il faut que la déesse Athéna se réincarne et rassemble ses chevaliers pour lutter contre les hordes d'Hades...mais il semblerait que ni les Saints ni les Spectres ne souhaitent vraiment cette guerre! Et si les deux camps étaient manipulés par une force inconnue manœuvrant dans l'ombre ?
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Saint Seiya c’est toute mon enfance, les chevaliers du zodiaque était mon dessin animé préféré. J’avoue que quand ma fille s’est mise au manga et que je m’y suis mise aussi, j’ai redécouvert avec bonheur cette saga.
Dans cette nouvelle série, Athéna n’est pas encore réveillée, tous les chevaliers ne sont pas là et on assiste au réveil de certains spectres et juges des enfers de Hadès. Il y a beaucoup de personnages comme toujours, beaucoup d’inconnus mais j’ai plongé immédiatement dedans. Les dessins sont superbes et l’histoire promet d’être prenante. Comme toujours le Bien et le Mal ne sont pas là où on les attend et j’ai hâte de me lancer dans la suite….
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Dans cette nouvelle série, Athéna n’est pas encore réveillée, tous les chevaliers ne sont pas là et on assiste au réveil de certains spectres et juges des enfers de Hadès. Il y a beaucoup de personnages comme toujours, beaucoup d’inconnus mais j’ai plongé immédiatement dedans. Les dessins sont superbes et l’histoire promet d’être prenante. Comme toujours le Bien et le Mal ne sont pas là où on les attend et j’ai hâte de me lancer dans la suite….
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Le plaisir de voir ces héros revêtus de leurs plus beaux atours pour des adieux transcendant le divin fonctionne encore. Rien que pour ça, nous pardonnons ce dernier tour de piste redondant avant le grand final (le dernier et véritable) !
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La confusion règne autant parmi les Saints d'Athéna que dans les rangs d’Hadès : la guerre sainte est elle vraiment inévitable ?
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Suite à l’accident mortel du paquebot sur lequel voyageaient plusieurs classes d’un lycée d’élites, Shôichirô se réveille dans ce qu’il reste du royaume d’Hadès. Lui et deux camarades s’avèrent faire partie des chevaliers du dieu du monde souterrain, tandis que son frère jumeau et sa meilleure amie ont été propulsés dans le sanctuaire d’Athéna. À se demander ce que les dieux leur réservent…
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En choisissant ce manga, j'espérais me replonger dans l'univers des Chevaliers du zodiaque tel que je l'avais connu en DA dans mon enfance, mais finalement, l'histoire de ce premier tome se déroule plus souvent dans la vie quotidienne des personnages que dans l'univers des chevaliers ; l'intrigue n'avance que très lentement et l'action est plutôt maigre à mon goût. Aussi n'ai-je pas vraiment été satisfaite par le contenu de l'histoire, j'en ressors non convaincue, mais il fallait essayer ^^
[Livre reçu dans le cadre d'une opération Masse Critique]
[Livre reçu dans le cadre d'une opération Masse Critique]
Force est de constater que cela part plutôt bien, le début est intrigant et soulève de nombreuses interrogations qui nous donne envie d'explorer ce nouvel univers. La bonne surprise vient surtout du fait qu'à priori nous n'avons pas affaire à un isekai, Shoichiro ne se réveille pas dans un autre monde mais est bel et bien mort et rappelé par Hades pour devenir l'un de ses spectres.
Lien : https://www.manga-news.com/i..
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Un développement inattendu, mais loin d’être déplaisant tant cette série a toujours su allier avec brio personnages attachants, intrigues bien menées, humour bon enfant et juste ce qu’il faut d’érotisme.
Lien : https://www.actuabd.com/Trin..
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Retour en grandes formes de cet excellent "harem manga" nous entraînant dans un monde de mages et de démons. Action, humour et héroïnes sexy au programme de ce tome qui ouvre la grande bataille finale du titre.
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Bon manga
Une lecture agréable, pleine de charme et d’humour, qui poursuit son petit chemin avec efficacité et qui mérite qu’on s’y arrête.
Lien : http://www.actuabd.com/Trini..
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