« Le monde d’en haut exerçait sur lui, l’habitant des souterrains, une trop forte attirance pour qu’il renoncât à retrouver ce vaste théâtre. Mais comme c’était bon d’avoir un coin qui l’attendait, un coin rien qu’à lui, rempli de choses qui seraient toujours heureuses de le revoir et de lui faire bon accueil. » (p. 97)