La mort rôde dans le chalet, de l’autre côté de la cloison. Il l’a entendue ouvrir et fermer les tiroirs de son bureau, l’a surprise à lire du vieux courrier. Elle examine les livres, leur parle dans son langage ancien. Quand elle se met à chanter, Hanson sourit, ferme les yeux. La mort observe le feu. Dans le ciel au-dessus du chalet, loin au-delà de la tempête et des préoccupations terrestres, la constellation d’Orion, immense et sublime sablier, égrène le temps.