Le barde s’apprête à poursuivre quand quelque chose dans le regard de la petite lapine l’oblige à s’arrêter. Elle semble terrifiée et près de pleurer. Certes, il aime effrayer son auditoire, mais c’est le réveillon de la fête des Ronces. La petite lapine devrait avoir le droit de se coucher, la tête pleine de rêves de carottes sucrées et de poupées en bois, au lieu de rester éveillée toute la nuit, tétanisée par la peur.