A la campagne, on ne demande pas au chien de garder la maison mais d'accueillir les visiteurs quand les maîtres ne sont pas là. Et quand il n'y a vraiment plus personne, il reste toujours le bruit du vent pour me saluer. Les fleurs sauvages me font la fête en embaumant l'air de leur parfum. Même le grand arbre m'invite à faire une pause à l'ombre de son feuillage. Il règne une véritable douceur de vivre à la campagne. p.65