- Ton père était l'homme le plus attentionné au monde. Il avait toujours un petit cadeau pour moi quand il revenait du marché. Et quand il n'avait rien à m'offrir, il allait dans les champs pour me confectionner un collier de fleurs...Et moi comme une idiote, je croyais que ce bonheur allait durer pour toujours. En 3 ans de vie commune, je n'ai pas pensé une seule fois à lui dire merci. Je ne réalisais pas la chance que j'avais. Il a fallu que la mort l'emporte brutalement pour que je comprenne enfin. Mais il était déjà trop tard.