Friedrich Nietzsche n'a de cesse de radoter sur le "rire terrible des Surhommes" - oui, j'ai lu autre chose que des livres avec des femmes à poil ou du gros gibier - et affirme que le plus infime gloussement de ces êtres supérieurs contient du sang et de la glace. Si cet abruti de Fritz avait entendu le rire du professeur Moriarty, il aurait chié du sang, de la glace et de la saucisse dans sa culotte bavaroise.