Kiyoko Arai

Au bout du compte, ce manga d'Emi Magique fait honnêtement le job jusqu'au bout, en permettant de replonger dans l'univers du dessin animé et d'en prolonger le plaisir, le temps de trois volumes où Kiyoko Arai séduit, grâce à sa tonalité et à ses visuels qui sentent bon les années 80.
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On reste sur des choses simples mais menées avec clarté, et ponctuées d'une point de fantastique collant plutôt bien au registre magique de l'oeuvre. Quant à la relation-phare du manga autour du "triangle" amoureux Mai/Shô/Emi, il reste bien entretenu, entre Shô qui affirme ses sentiments pour Emi en ignorant toujours son identité, et Mai qui doit composer avec son secret.
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Diffusé pour la première fois au Japon entre 1985 et 1986, Emi magique s’inscrit dans la vague des séries de magical girl qui ont fait le succès du studio Pierrot. L’adaptation en manga de Kiyoko Arai, publiée en parallèle au dessin animé, met davantage l’accent sur la relation entre Mai et Shô, le garçon dont elle est secrètement amoureuse et qui n’a d’yeux que pour Emi.
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Une série vraiment sympathique, pleine de fraicheur et d'humour. Kiri est vraiment attachante et a un caractère bien trempé qui fait que je la préfère à d'autres héroïne de shojo quelques fois vraiment niaises !

On m'a prêté les premiers tomes et depuis je ne me suis pas procurée la suite. Ils ne sont plus disponibles en neuf mais vous pouvez les trouver d'occasion assez facilement. Si je tombe dessus un jour, je les achèterai surement. Il n'existe que 10 tomes, ce qui fait une série de mangas assez courte finalement !