– Non, attends. Je sais que je t’ai fait du mal Clara, mais je suis profondément amoureux de toi. Je ne l’ai pas cherché. […] Oui, ça fait de moi un connard profond d’avoir seulement eu des pensées aussi horribles. Et je m’en voudrais toute ma vie. Mais il n’y a eu que toi, Clara. Depuis le début. Je ne voyais que toi. Je ne sais même pas si ça a commencé lors de notre première discussion ou si ça a commencé bien avant, quand je te voyais auprès de ton meilleur ami, quand je saisissais à quel point tu t’apprêtais à sombrer comme moi j’avais sombré. Mais putain Clara, je t’aime et j’en crève. Alors s’il te plaît, si tu penses qu’il y a une chance dis-le moi. Si tu penses que tu ne me pardonneras jamais, dis-le-moi aussi. Mais je t’en prie, ne me laisse pas agoniser. Ne me laisse pas dans ce putain de brouillard. J’ai besoin de savoir ce que tu veux de moi.