Le XIX ème siècle, c’était la belle époque de l’histoire : celle deb l’histoire considérée comme une science. Et non pas une science parmi d’autres, mais, à côté de la psychologie, comme l’une des sciences fondamentales de l’esprit. Car toutes celles qui avaient à s’occuper de ses productions : du langage, des littératures, des religions, des mythologies, de l’art, n’étaient que des histoires particulières. L’Histoire, l’Histoire tout court et avec une majuscule, devait leur servir de guide et de modèle.