Ces routes la étaient les leurs, parce qu'ils les avaient construites, mais pour ceux qui avaient les moyens de les parcourir au volant d'un véhicule, elles étaient nos routes, construites par nos ouvriers. Pour eux, en effet les ouvriers étaient indissociables de la route. Ils figuraient sur la liste du chantier avec les excavateurs, les pelleteuses, les bulldozers et les rouleaux compresseurs.