Il (La Fayette) était bien le même, veillant à son image, soucieux de sa tenue : grand, maigre, le front fuyant et le nez trop long. Mais il se dégageait de lui une couleur à la fois fade et violente. Fade dans ses révérences, dans ses rires étouffés dans cette ambiance oppressante. Violente, en raison des propos tenus, des idées lancées et surtout de l’évolution opérée.