L’appartement et moi semblions faits l’un pour l’autre depuis le départ, mais je suis comme ça lorsqu’il s’agit des endroits où je vis. Sans le vouloir, je commence à les aimer, j’y adhère de plus en plus, physiquement. Les quitter, c’est comme m’arracher la peau. Et cela me retournait les tripes aussi.