Il n’aimait personne et personne ne l’aimait, et cela lui convenait parfaitement, le respect était autre chose, cela allait de soi, découlait, hélas, de la bêtise humaine, contre laquelle il était impuissant, non pas qu’il s’en souciât, c’était le cadet de ses soucis, mais lorsqu’il y était confronté, il pouvait en souffrir terriblement……