Avant de me laisser partir en paix, mon corps avait décidé de me faire remonter le cours du temps. Il pliait bagage d'une manière certaine, mais par à-coups, en me faisant vivoter à reculons. Mais c'est qu'il me rembobinait toute entière, en accélérant toujours la cadence de ma disparition. Une lente mais trop sûre disparition.