Derrière chaque fenêtre, le cimetière d'abord, l'horizon ensuite. Ne pas chercher plus loin : elles avaient vécu, pensé, rêvé et écrit au seuil de la mort. (...) Jamais, pourtant, ces soeurs ne se sont coupées du réel pour se cloîtrer dans la fiction - bien qu'elles aient pu être tentées de le faire. Cet élan vers les lettres était un moyen de supporter le monde, pas de s'en extraire.