S'élevant contre l'ère du zapping, du bombardement des images et de leur dévoration, elle nous enjoint d'appuyer sur le bouton "pause" pour chasser le superficiel. Ce n'est pas un hasard s'il y a des bancs ou des chaises devant ses installations : elle nous demande de tout lâcher, de nous abandonner et d'être perméables à nos propres sensations pour la suivre.