“Rationnellement, on se dit que des milliers de militants kurdes ont été violemment réprimés et que pour des milliers de personnes, ça s’est déjà terminé par la mort, fait remarquer Murat Polat. Mais lorsqu’on le vit, sur le coup, on ne se rend pas vraiment compte. Ce n’est qu’après, à la brigade criminelle, que j’ai appris qu’elles avaient été tout bonnement assassinées. Lâchement assassinées.”