Ça tombe sous le coup de la loi sur les malfaisances magiques : tout détenteur d'un don psychique ou surnaturel qui l'utilise pour commettre un meurtre ou un acte de violence hors des paramètres de la légitime défense est passible de la condamnation la plus sévère prévue dans ce cas de figure. Et la condamnation la plus sévère prévue dans ce cas de figure est l'exécution-foutrement sévère, donc.