Car, au bout du compte, il n’y a pas d’autre issu que la vie elle-même. Et il faut bien s’y jeter, à l’eau, pour découvrir que non seulement on sait nager, mais que la force miraculeuse du vivant nous porte et nous emporte en des contrées bien plus inattendues que tout ce que nous avions imaginé.
« Là où croit le péril croît aussi ce qui sauve », écrivait le poète Hölderlin.