La photo fascine par la perfection froide de ses lignes verticales et horizontales : parallélisme et symétrie des deux chaises longues et des deux corps allongés, ligne de démarcation très nettement dessinée entre la pelouse et la haie d’arbres, contraste entre les corps écrasés à terre et les arbres dressés vers le ciel. Tout est parfait et glacé, tout suinte l’argent et l’effrayante solitude.