L’homme, comme les autres espèces, n’est pas à l’abri de la régression : elle a déjà commencé sur des caractères qui ne sont plus soumis à la pression de sélection. Un exemple parmi d’autres : la perte de l’odorat. Notre sens de l’odorat est aujourd’hui dix mille fois moins puissant que celui d’un chien.