Michel-Ange à Bronzino. Notre temps a passé, Agnolo, même le mien. Les flatteries dont m'accable le Duc ne sont en réalité que des oraisons funèbres....Le temps ne rendra justice à personne. Les hommes de demain ne vaudront pas mieux que ceux d'aujourd'hui. Tout sera détruit. Pour finir, il ne restera que cendres et ruines. Pontormo l'avait compris. 288.