Tous ces ouvriers, ces laboureurs, ces manouvriers qui avaient fini leur journée et buvaient au comptoir, jouaient aux cartes, installés autour des tables au fond de la salle, composaient le tableau idéal de la vie à la campagne, telle que pouvaient se la représenter un pur citadin comme lui. L’atmosphère bruissait du choc des fléchettes et des javelots contre leurs cibles, des éclats de voix des joueurs, du brouhaha des conversations, brisé à intervalles réguliers par de grands éclats de rire.